La fonction première du projet de l’île de Porquerolles est de permettre l’augmentation de la capacité de traitement des eaux usées de la station, ce qui entraîne inévitablement un dimensionnement plus important des nouveaux bâtiments. Ici, l’enjeu est d’intégrer au mieux ces nouveaux bâtiments dans le terrain naturel, en modifiant le moins possible le relief et la végétation.
Paysage support né « d’une riche tradition agricole », le terrain quartier des Pugets est situé à flanc de coteau et s’inscrit dans l’unité paysagère de la Vallée du Var. Ce territoire, représenté sous la forme d’un grand jardin issu d’une économie rurale, a permis une urbanisation multiforme avec des logements individuels et collectifs.
L’étude du projet concerne l’extension du cimetière de la Colle-de-Grune à Fréjus et porte sur l’ensemble des terrains dédiés à l’extension du cimetière existant situé dans le site naturel classé de l’Estérel.
Au cœur de la Plaine du Var, le projet du MIN se place au centre d’une transversalité écologique, architecturale et paysagère. Il s’agit tant de considérer le bâtiment dans un rapport dialectique avec son environnement proche et lointain que dans son interaction avec son milieu, la préservation des corridors écologiques en place (trame verte et bleue) afin d’accompagner la dynamique de recomposition paysagère. De cette manière, l’Ecotoit, qui entre en résonance avec le paysage de la vallée constitue un siège pour la biodiversité végétale et constitue la cinquième façade du projet.
Entre 1984 et 1999, plusieurs études ont été menées par l’Agence Faragou sur le territoire de Mandelieu. Elles reflètent des échelles d’intervention variées comme le grand territoire, le quartier, l’opération urbaine et l’aménagement paysager afin de remettre en valeur et de repositionner le territoire de Mandelieu-la-Napoule sur la Côte-d’Azur.
Le projet prévoit de recréer un établissement hôtelier de prestige, comprenant à la fois la restauration du bâtiment existant et la création d’un jardin, sorte de porte d’entrée en venant par la mer ou par la terre. Conçu en creux, il est constitué d’essences méditerranéennes, il souligne le socle paysager du Fort et rehausse le cadre naturel exceptionnel des lieux.
L’étude préalable de faisabilité paysagère conduit à une réflexion globale sur la compréhension et la modification d’un territoire. Le projet envisage de créer sur la commune de Mandelieu-la-Napoule un centre de stockage de déchets ultimes pour une exploitation de 30 années qui accueillera, dans un vallon aménagé à cet effet, 9 millions de m3 de déchets. Le projet comprend également une usine de tri et de prétraitement des déchets, occupant une surface de 3 hectares environ.
Le concours concerne la future Maison de l’Environnement à Valberg. Le projet vient marier l’architecture au paysage remarquable du site dans lequel le bâtiment vient s’insèrer. Focalisé sur le thème de l’astronomie, le bâtiment représente le système solaire et intègre un planétarium.
Ce projet d’envergure concerne le territoire varois qui s’étend sur plus de 22km, entre la commune de Barjols et la commune de St-Maximin-la-Sainte-Baume. Le paysage est composé de 10 enclos/étapes qui scandent la Route Départementale 560, animés par les volières du regard. Celles-ci sont des incitations à la découverte du paysage, à la flânerie, au départ d’une promenade à vélo, d’une randonnée ou simplement des endroits pour le repos et la détente pour reconstruire une liaison verte.
Le carrefour des Baraques, situé dans le prolongement du nouvel ouvrage de
franchissement du Var, constitue le point de liaison entre la RD 6202, rive gauche du Var, et la RD 6202 Bis, rive droite. Sa position stratégique lui confère le rôle important
d’entrée de ville, constituant le premier équipement routier de desserte de la ville
de Nice en venant de l’arrière-pays. Réciproquement, il matérialise la porte
paysagère de l’axe routier. Sur ce giratoire, deux typologies végétales se rencontrent
sous forme de bosquets créant une véritable mise en scène paysagère,
soulignée par la sculpture de Bernard Pagès « Vent debout ».
