Le projet présenté réunit et prend en compte des noyaux de développement
pour mettre en valeur les sites touristiques en Afrique Noire. Il concerne plus
particulièrement les composantes urbanistiques et paysagères.
Site classé au patrimoine de l’UNESCO, le projet passe par la reconstitution
d’une cité historique composée de ses trois forts français, anglais et portugais,
ainsi que la requalification des autres espaces urbains.
Dans le cadre des études pour la création d’un Golf Resort sur la commune d’Olonzac,
l’objectif est de démontrer que dans une dynamique d’aménagement, il est possible
d’imaginer un paysage nouveau à travers la sauvegarde du paysage actuel.
L’enquête de faisabilité paysagère, indispensable, permet de mener une
réflexion globale sur la compréhension et la modification d’un territoire.
Un paysage partagé est conçu pour tous. Chaque niveau du bâtiment accueille un
projet, unique par son aménagement et son fonctionnement. Ces espaces formant des
terrasses et des toitures-jardins sont cadrés par l’architecture scandée par des lignes verticales formant des fenêtres et des cadrages sur le paysage. Le projet des
espaces extérieurs installé sur la cinquième façade joue sur des plateaux altimétriques
et de surfaces, et permet d’habiter les toits dans le prolongement des espaces couverts.
Le projet de Résidence Touristique du Petit Lac s’insère autour d’un plan d’eau artificiel
alimenté par la nappe phréatique de la Siagne et qui jouxte le Golf et l’aérodrome
de Cannes-Mandelieu. Il associe à la fois un ensemble hôtelier, un espace lacustre et
des espaces ludiques, intégrant un aménagement paysager, et s’inscrit dans
une nouvelle cohérence en synergie avec l’architecture et l’identité naturelle.
C’est un parc pour lequel l’Agay devient à la fois l’axe fluide générateur du
mouvement architectural et la partition paysagère de l’atmosphère du programme.
Ce projet offre aux habitants un espace de nature se déclinant en une vaste étendue
de graminées ondulant sous la brise de mer et de terre, une « piscine étang » où l’eau
de baignade se confond avec le jardin aquatique qui l’entoure, ainsi qu’un réseau
de promenades irriguant le parc, selon une géométrie rayonnante et concentrique,
réalisé en pontons à fleur de sol. En bref, un décor « rivé au paysage ».
Inscrit dans le périmètre de Nice Méridia, Plaine du Var, entre l’Avenue Simone Veil
avec le futur tramway et la rue du Canal d’Amenée, la séquence architecturale à
bâtir qui nous concerne crée la rive du futur parc Robini. Le parti architectural proposé crée une ascension verticale de deux bâtiments. La réalisation d’un jardin intérieur permet la rencontre des deux bâtiments par un cœur d’îlot. Enfin, la réinterprétation d’un vallon obscur participe à la mémoire de la Plaine du Var et au principe même de l’architecture : l’élévation vers le ciel.
Le projet d’aménagement du bâtiment IKEA et Bouygues immobilier
est situé dans la Basse Vallée du Var. Il porte sur la volonté de
repositionner le quartier de ville de Saint-Isidore comme quartier urbain de
l’Ecovallée de la Plaine du Var, tout en respectant la continuité de l’urbanisation
mixte actuelle de Saint Isidore Nord et le contexte environnemental.
L’opération Marenda Lacan représente un enjeu stratégique très fort pour
le développement, notamment commercial de la Ville d’Antibes. Le programme
architectural intègre deux cœurs d’îlot qui deviennent deux jardins refermés sur eux-mêmes, faisant référence à la Provence et à la Côte d’Azur. La conception de l’ensemble des espaces extérieurs comprend également la création de toitures terrasses plantées à différents niveaux des bâtiments, ainsi que de toitures végétalisées.
Le projet d’aménagement des ilots 3 / P2 du Grand Arenas vise à créer une couture urbaine paysagère dans le quartier et au cœur du pôle multimodal de Nice. La conception des espaces extérieurs et paysagers du parvis repose sur la volonté d’affirmer l’axe majeur urbain Nord/Sud, par un double alignement de palmiers, entre la Place des Mosaïques et le Boulevard René Cassin correspondant au développement futur du quartier gare TGV / gare Routière.
Le quartier Joia Méridia contribue au grand programme de l’Éco-Vallée, projet
d’aménagement et d’urbanisme qui participe à la mutation de la Basse Vallée du Var. C’est dans ce contexte que doit s’opérer la complémentarité entre architecture, urbanisme et paysage.
Les bâtiments de cet archipel architectural sont interconnectés les uns aux autres et
présentent des toits vivants. La renaturation des cœurs d’îlots prolonge la composition d’ensemble. Ils s’organisent autour de trois thématiques, celle d’un vallon obscur, d’un verger ou encore le jardin du voyage et de patios d’exotisme et de fraîcheur.
