Inscrit dans le site exceptionnel de l’Estérel et ouvert sur la mer, l’opération immobilière Miramar s’insère entièrement dans les collines varoises, offrant une lecture linéaire et ne dénaturant pas l’environnement originel. Le projet Miramar marie l’architecture moderne et azuréenne à un paysage exceptionnel.
Le programme immobilier Horizon Croisette propose des logements de 3 à 5 pièces aux prestations haut de gamme, profitant de larges surfaces et de grandes terrasses pour les derniers étages. Le projet promet un domaine d’exception inséré au cœur d’un parc paysager arboré d’essences locales. Son atout est basé sur la vue mer panoramique, imprenable sur la baie de Cannes allant des îles de Lerins au massif de l’Estérel.
Quelque soit l’échelle d’un site, l’Agence Faragou aborde un projet de la même façon : sentir sur place les possibilités du site, puis le replacer dans le contexte de son patrimoine à la fois culturel et naturel, avant de proposer un projet complet. C’est exactement de cette manière que l’équipe de l’agence d’architecture et de paysage a développée sa méthode de travail pour le jardin de l’Automobile Club à Monaco.
Ce jardin patio ouvert sur le restaurant du club prestigieux de l’Automobile Club est aussi le théâtre de manifestations, notamment pour le Grand Prix de Formule 1. Le jardin monégasque, véritable lieu de vie pour les clients de l’Automobile-Club, est une « allégorie vivante de l’automobile et du voyage ». En effet, un jeu de surimpressions et de silhouettes, sorte de pièces d’assemblage et de structures mécaniques, laissent transparaître un paysage vertical par un jeu de double décor.
Les murs ont été remplacés par des panneaux en métal découpés dans des formes qui rappellent des pièces d’automobiles ; ici, on reconnaît une suspension, là un disque d’embrayage. Le métal est un acier Corten qui se rouille, puis ne se détériore plus ensuite. Chaque panneau a été dessiné à l’échelle pour organiser le jeu de profondeurs et la séquence, car c’est une sculpture en continu qui se visite et qui change sans arrêt selon la lumière.
Avec ce projet, l’Agence Faragou a trouvé une astuce ingénieuse pour marier architecture, sculpture et jardin dans le même espace. La réalisation est une « combinaison d’architectures végétales de troncs et de feuillages mises en tension par les lignes et les courbes du métal ». La conception ici certes des plus originales, la réalisation est méticuleuse et le résultat est une aventure qui dépasse de loin un simple décor de restaurant.
Pour en savoir plus sur le projet, consultez la fiche du projet du Jardin Automobile Club.
Le projet d’aménagement du Parc Fernand Braudel, situé sur l’Isthme des Sablettes à la Seyne-sur-mer, s’inscrit dans la revalorisation touristique du territoire.
Le site, qui s’étend sur plus de 7Ha, associe la volonté d’insuffler un projet urbain et d’intégrer des éléments végétaux exceptionnels qui convertissent le site en station balnéaire. La réalisation de l’aménagement paysager prend forme entre 2 terres et 2 mers et s’accompagne d’un mobilier urbain design ainsi que d’une revalorisation du quartier à travers un traitement paysager.
Créé spécifiquement pour s’harmoniser avec les ambiances naturelles et balnéaires, une ligne de mobilier simples, inspirée par les éléments de culture locale (marine à voile, pêche, etc.) a été dessinée et réalisée dans des matériaux de construction navale faits pour résister aux embruns et aux UV : bois d’iroko, inox marine, acier laqué blanc à l’entretien facile.
Le mobilier s’entoure également d’une signalétique paysagère, où un parcours a été jalonné par des panneaux pour le public. Les informations prennent en compte les échelles du paysage, la micro-échelle d’un végétal ou d’un groupe de plantes.
Enfin, des sculptures réalistes à l’échelle macro d’éléments particuliers et marquants du paysage, de la flore et de la faune ont été réalisées comme des clins d’œil à la mémoire, à la faune et à la flore locales.
Pour en savoir plus sur le projet, consultez la fiche du projet Parc Fernand Braudel.
Dans le jardin-potager d’une villa sur les hauteurs de Saint-Jean-Cap-Ferrat, on y trouve un système d’irrigation des plus originels. Pièce maîtresse ‘un jardin, le système d’arrosage « à l’ancienne », constitué de martelières, permet d’irriguer une partie du jardin par l’intermédiaire d’un canelet d’eau situé en amont des surfaces plantées. Le système hydraulique comporte un bassin d’alimentation, un lavoir avec son bac tampon et un réseau de canaux. L’ensemble est géré de façon gravitaire. Le bassin alimente le bac tampon du lavoir. Le niveau d’eau du lavoir et de son bac tampon est calé sur la même altimétrie par un robinet flotteur. Le bac tampon des canaux est enterré. Il est alimenté par une canalisation mise en pression par le lavoir. Un robinet flotteur assure la fermeture de l’alimentation. Le niveau de fermeture prend en compte la garde d’eau nécessaire dans les canaux. À l’ouverture des martelières, le niveau du bac tampon enterré s’abaisse, le niveau du lavoir s’abaisse proportionnellement à la sollicitation du canal. La réaction entraîne automatiquement l’ouverture du robinet flotteur du bac tampon du lavoir. Le mouvement d’eau en cascade assure le renouvellement périodique de l’eau du lavoir.
Pour en savoir plus sur le jardin nourricier, consultez la fiche du projet Jardin Nourricier.
Le programme concerne la construction d’une halle d’exposition à Gignac. Les principales caractéristiques de ce projet sont d’intégrer ce morceau d’urbanité et son architecture à l’échelle du grand paysage de la plaine, de prendre en compte toutes les liaisons qu’il devra entretenir avec les zones d’activités et le village de Gignac et d’affirmer sa personnalité pour annoncer sa fonction première d’espace public.
Le concours concerne la future Maison de l’Environnement à Valberg. Le projet vient marier l’architecture au paysage remarquable du site dans lequel le bâtiment vient s’insèrer. Focalisé sur le thème de l’astronomie, le bâtiment représente le système solaire et intègre un planétarium.
Ce projet d’envergure concerne le territoire varois qui s’étend sur plus de 22km, entre la commune de Barjols et la commune de St-Maximin-la-Sainte-Baume. Le paysage est composé de 10 enclos/étapes qui scandent la Route Départementale 560, animés par les volières du regard. Celles-ci sont des incitations à la découverte du paysage, à la flânerie, au départ d’une promenade à vélo, d’une randonnée ou simplement des endroits pour le repos et la détente pour reconstruire une liaison verte.
Le projet Poste Immo suit d’une part une démarche de renouvellement urbain, et d’autre part une politique sociale de l’habitat et de développement des services publics. Le projet vient ainsi restructurer, au cœur de la zone urbaine dense, un site de 2188m² actuellement peu qualifié et au fort potentiel constructible.
En belvédère sur la Méditerranée, la villa s’inscrit dans l’unité paysagère de la rade de Villefranche au centre d’un paysage exceptionnel. Le projet concerne la rénovation de la propriété et la recréation d’un jardin.
